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PsyR2

Une seule séance de stimulation cérébrale pour empêcher la libération de cortisol due au stress ?


Lorsque l’on est exposé à un facteur de stress, plusieurs zones cérébrales et mécanismes physiologiques permettent de préparer le corps humain à y faire face. En particulier le cortex préfrontal au niveau cérébral mais aussi la production de cortisol au niveau périphérique.


Actuellement, il existe un intérêt grandissant sur les modalités d’interaction entre le cortex préfrontal et la production de cortisol lors de l’exposition à un facteur de stress .

La stimulation magnétique transcranienne répétée (rTMS) et la stimulation électrique transcranienne (tDCS), délivrées sur le cortex préfrontal ont été testées ces dernières années dans plusieurs études pour évaluer si elles pouvaient influencer la production de cortisol chez le sujet humain soumis à un facteur de stress.

Dans notre travail, nous avons réalisé une synthèse systématique de ces études.

  • D’une part nous avons retrouvé d’importantes différences méthodologiques, rendant nécessaire une standardisation dans les études à venir ;

  • D’autre part, délivrer la stimulation cérébrale (rTMS ou tDCS) au niveau du cortex dorsolatéral préfrontal gauche permettrait de réduire la réponse du cortisol à un facteur de stress.


Un article publié dans la revue Prog. Neuropsychopharmacol. Biol. Psychiatry et co-écrit par :

  • les membres de PsyR2, Philippe Vignaud, Ondine Adam, Emmanuel Poulet & Jérôme Brunelin

  • et Ulrich Palm, Chris Baeken & Nathalie Prieto




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